Les différents partenaires :
- co-construisent le programme de travail de l’Institut,
- Y apportent leurs expertises, connaissances, études, et expertises de vécu
- Nourrissent l’Institut de leur regard sur les besoins de connaissance et les questions qui se posent, les innovations et expériences de terrain, apportent un regard critique sur les travaux,
- Facilitent la mise en relation avec des professionnels, bénéficiaires de programmes, en fonction des besoins d’étude,
- Favorisent l’accès à leurs bases de données, dans le respect du RGPD,
- Facilitent la mise en place d’expérimentations via l’accès à des publics, ou en mobilisant des réseaux ou ressources.
Pour les deux premières années d’amorçage, les programmes d’étude de l’Institut sont financés grâce au soutien de la Fondation Sanofi Espoir.
L’association de personnes en situation de fragilité est en cours d’élaboration afin que les programmes soient conçus « avec » et non pas seulement « pour » les personnes en situation de fragilité.
Dans un premier temps, la constitution d’un collège de personnes en situation de vulnérabilités est en cours, avec l’appui d’Alice Casagrande, spécialiste de ces questions.
L’objectif étant de proposer un cadre de travail qui associe les personnes directement concernées dans la production des connaissances pour qu’elles soient en mesure de réellement y participer, et adapte les modalités de participation à la singularité de chaque sujet traité.
L’institut accorde une place également aux personnes accompagnantes (bénévoles ou professionnelles). Celle-ci est également en cours de construction.
Tous les membres de l’Institut des vulnérabilités et résiliences signent une charte rappelant les objectifs d’intérêt général, de prévention et de soutien des différentes formes de fragilité.
En 2021, l’Institut des Vulnérabilités et Résiliences s’appuie sur des membres issus de la communauté d’acteurs suivante, qui s’enrichit en permanence de nouveaux membres :
Associations et Fondations
ADSF Agir pour la santé des femmes | |
ANSA Agence Nouvelle des solidarités actives | |
Association France Ville Durable | |
Comede Comité pour la santé des exilés | |
Convergence Paris | |
Convergence France | |
Ikambere | |
JRS France | |
Fédération des Acteurs de la Solidarité Ile de France | |
Fédération Léo Lagrange | |
Fondation Apprentis d’Auteuil | |
Maison des femmes de Saint-Denis | |
SciencesPo Centre de sociologie des organisations | |
Université Paris Nanterre |
Institutions
Comité Consultatif du Secteur Financier (CCSF) | |
Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement | |
DGCS Direction générale de la cohésion sociale |
Chercheurs ou personnalités qualifiées :
SciencesPo Centre de sociologie des organisations | |
Université Paris Nanterre |
Fanny Bugeja-Bloch : sociologue, maîtresse de conférences en sociologie à l’Université de Nanterre et chargée de mission à la précarité et la santé des étudiants de l’Université de Nanterre, spécialisée sur les questions de logement, trajectoires résidentielles, stratification sociale, générations, discriminations ethniques, consommation, modes de vie, Etat-providence, comparaisons internationales, Université Paris Ouest Nanterre laboratoire Cresppa
Alice Casagrande : Présidente de la Commission nationale lutte contre la maltraitance, promotion de la bientraitance.
Didier Demazière : sociologue spécialisé que les questions de Travail, emploi, profession, Directeur de recherche CNRS, affecté au Centre de sociologie des organisations (CSO), UMR7116 en cotutelle CNRS et IEP de Paris., Président de l’Association Française de Sociologie en 2011, et réélu pour un second mandat en 2013. Il dirige la revue Sociologie du Travail depuis 2006.
Céline Clément : maîtresse de conférences en sociologie à l’Université de Nanterre et chargée de mission à la précarité et la santé des étudiants de l’Université de Nanterre, travaille sur la famille, l’entrée dans la vie adulte, les relations intergénérationnelles et la socialisation ainsi que sur l’articulation des trajectoires familiales, résidentielles et professionnelles.
Sabine Fortino : sociologue, spécialisée sur les questions de Sociologie du travail et du genre : les processus de mixité au travail, Précarité, précarisation sociale, Modernisation du travail, modernisation des pénibilités au travail, Introduction des logiques de gestion du secteur privé au sein du secteur public, Travail, santé et émotions, à l’Université de Paris-X-Nanterre, chercheure au laboratoire “Travail et mobilités” du CNRS. Université Paris Ouest Nanterre laboratoire Cresppa
Leïla Frouillou : maîtresse de conférences en sociologie à l’Université de Nanterre et chargée de mission à la précarité et la santé des étudiants de l’Université de Nanterre, travaille sur les inégalités scolaires, notamment à l’entrée dans l’enseignement supérieur, et sur la dimension spatiale des rapports sociaux.
Alexandra Oeser : maîtresse de conférences en sociologie à l’Université de Nanterre et chargée de mission à la précarité et la santé des étudiants de l’Université de Nanterre, spécialiste des inégalités sociales, au travail, en politique, et en famille ; du genre et des relations de classe, du lien entre précarisation, perte d’emploi, et identités genrées.
Jean-Luc Outin : Economiste, spécialisé sur les thématiques d’évaluation des politiques sociales, politiques de lutte contre la pauvreté, membre du conseil scientifique du CNLE).
Pascal Plantard : Anthropologue des usages de technologies numériques, Professeur de Sciences de l’éducation et de la formation à l’Université Rennes 2, Laboratoire CREAD, Co-directeur du GIS M@rsouin. Il est spécialisé sur les questions d’inclusion numérique et d’e-éducation.
Serge Tisseron : psychiatre, docteur en psychologie, Membre de l’Académie des technologies, du Conseil national du numérique et du Conseil Scientifique du CRPMS (EAD N°3522, Université de Paris), responsable du DU de Cyberpsychologie. Il est spécialisé sur l’impact des outils numériques sur les représentations de soi et des autres, et les relations
Le CRÉDOC : association loi 1901, maître d’œuvre et coordinateur du projet au service des partenaires de l’écosystème. Avec comme coordinatrice du projet Sandra Hoibian, sociologue, spécialisée sur les questions de cohésion sociale (inégalités, diversité, lien social, valeurs), directrice du pôle Société du CRÉDOC(Centre de recherche et d’observation des conditions de vie)
Un collège de personnes en situation de vulnérabilités, en cours de constitution.